Le polar french

Hi Leute und Bonjour an alle Französisch-Experten.

Im Auftrag der Schule musste ich über 3 Wochen ein kleines Kapitel eines Krimis verfassen.
Ich möchte gerne jemanden bitten mir da unter die Arme zu greifen und den Text einmal nach Fehlern zu untersuchen.
Ob der Inhalt flüssig und verständlich rüber kommt und die Grammatik und Ausdrucksweise stimmt. Die vulgären Ausdrücke sind so gewollt.

Da wäre ich euch sehr dankbar.

Toulouse, le vingt-huit septembre 2017
Il fait incroyable chaud.

Véritable il est un jour si autre jours aussi. Suzanne arrive pour le travail. Mais elle est très forte en ratard, parcequ’elle a réveilleé trop tard et elle ne se sorti avec le brusque changement de temps. Toutfois elle savoir, si le jour ne etre un jour si chaque autre. Toujours je deviendrai élucider une crime, elle dit.

„Bonjour Monsieur“ elle dit, quand elle est couri dans la porte.
„Bonjour Madame, j’ai la poste pour toi“, il dit.
„Ouai, merci Moniseur. Je suis en hâte, excuse moi, salut“, elle dit

Suzanne saute comme une dingue dans la voiture et fonce en avant. Normalment elle arrive trente minutes dans leur travaille, toujours est dix-huit minutes. Elle donne tout qu’est elle a en l’accelerateur et arrive quinze minutes en ratard dans leur travail.
Elle dit à lui-même, «C’est droit encore sous le cadre, pour peu que. Esperons mon boss n’a rien que marque. Quelque chose passe moi normalment mais non.»

Finalement elle alle dans le vesitaire et s’habille leur chic l’uniforme. Elle a l’air très bonne, si bien que chaque garçon et l’homme doit retourne et ce alors que elle a non fardé aujourd’hui. Elle a quelque chose que tout un chacun la tête tordu.

Alors elle alle dans leur place de travail et s’inquiéte que le passagers a un certain vol et arrive très bon dans leur destination. Elle fait le métiere avec grand plaisir, parce qu’elle aime si parmi dans beaucoup de personnes et fait cela maintenant sept années. Mais elle doit réfléchit tout le temps de Philippe, leur collègue de travail. Il tenir une contrôle plus avant.
Elle pense toujours encores, quest-ce que cest possible, si Phillip n’a rien attrape.
«What the hell, il fait si, presque chaque jour et personne senti ça? Celui-ci branleur doit payer pour ça l’actions. … a là toujours ses gens qu’à soi également comme longtemps la file d’attente est aussi toujours chez lui mettent, celui-ci sac. Je n’ai pas une idée, comme il va par le contrôle. Là, celui-ci a certain contact de tout en haut. Mais, avec ça est fin, traffic de drogue pff … Je t’ai maintenant à la queue. Je bataille pour la justice et chaque personne qu’il a en liberté rien perdu.»

Elle savait qu’ils de lui si simplement un aveu ne s’avancent pas en dehors savait, c’est pourquoi elle espionnait à lui après le travail. Il était déjà sombre. Comme Phillip son emploi quittait il se rencontrait près de transport des valises avec deux autres dealers. Ils se trouvaient à un grand camoin. Là ils faisaient le trafic de drogues avec la marchandise. Elle faisait quelques photos autour de celle de la police remettre. Mais elle était attrapée et était prise par Phillip dans le manque. Les autres s’enfuyaient vite.

Phillip leur criait encore après „Ey, leurs oeufs mous que vous êtes à vrai dire pour des collègues. Si cela ne risque pas ici encore une fois se ramener. Avec moi ne fait plus leur aucun commerces“
«Maintenant, j’avais correctement la peur. A moi était déjà conscient que l’on ne pouvait pas donc parler simplement avec de tels dealers, mais Phillip était si agressif. Je ne l’ai encore jamais vu comme ça. »
Maintenant, Phillip et Suzanne étaient seule dans le coin le plus dernier de l’aéroport, caché derrière le camion. Et Phillip faisait un court processus et se me disait seulement „Qui dans le chemin met, celui-ci est enlevé du chemin“.

«Il m’empaquète tout à fait ferme sans tenir compte de ma sphère privée. Il saisit à moi dans le pas, sous la chemise et tripote moi. Je tente encore de manquer à lui un coup du pied douloureux dans les oeufs, mais il a rien ne semble sentir, comme s’il n’a rien là, vraiment, comme s’il fut un sac vide. En raison de mon état avec j’ai lancé le départ je n’ai aussi à durer plus intensément aucune possibilité moi. A moi est conscient que ce n’est plus ici aucun plaisir. Cela a ainsi un rappelait d’un viol. Je pousse un cri encore donc ainsi selon comme je sais. Il m’empaquète encore plus fermement. Cela fait de la peine correctement. Je me demande si lentement ou mon heure passée maintenant a frappé, se rappelle le matin tôt, quand encore tout était si stressant, mais était paisible, cependant. Je donne plus loin fort mes bruits dans l’espoir quelqu’un m’entendrait. Il couvre ma bouche de la bande magnétique de cuirasse, lie moi les bras derrière le dos à un câble et, finalement, aussi les jambes. Je me sens correctement misérable bien que ça ne m’aille pas, de toute façon, bien. Finalement, il m’attache encore un autre câble autour du cou. Je pense cela le bon ne s’appelle pas, mais, peut-être, il veut me violer réellement „seulement“ bien que sonne maintenant complètement malade, absurdement et de manière dérangée …»

Deux heures plus tard

L’un des dernieres travailleurs est arrive dans la maison et il regarde une personne parmi le camion. Il est la femme, Suzanne.
Il alarme la police tout de suite. L’employée veni trés vite et commence avec l’enquete.
La madame habile très chic et elegant vêtements. Un pantalon noir, un costume noir, un chemise blanche avec un boucle rouge et brun chaussure avec haut talon. Elle a le chevau blond et les yeux bleu. Elle a une sacoche avec une carte avec le expéditeur F…
L’epoque du crime on estime à vingt trente heures.
La victime était étranglée clairement. On le reconnaît aux traces soi au cou dessinent. Quelques mètre à côté du cadavre était trouvé un câble dans une poubelle.
Aujourd’hui pour l’interrogation de témoin, il est déjà trop tard malheureusement, puisque presque aucuns gens ne sont plus présents. Celui-ci est déplacé Tôt sur demain dans. Au temps intermédiaire, Lou fait transmettre le cadavre à l’autopsie dans la morgue.

Le prochain jour

Le lendemain, Lou va à l’aéroport. Ici elle s’espère des connaissances étendues au meurtre de la jeune femme. Sur le voyage, elle est déjà appelée par son collègue Mateo. Il informe à elle du résultat actuel de l’examen de cadavres. A l’examen du cadavre, on a constaté que celui-ci a beaucoup de taches bleues dans le domaine de poitrine. Votre uniforme était complète, mais son caleçon manque. Egalement on trouvait sur le pantalon noir une petite tache blanche, probablement sperme de l’auteur.
„Nous partons à la recherche de l’auteur en tout cas d’un homme ?“, dit Lou.
„Probablement, oui“, répond Mateo
"Baisent Wow, c’est malade la victime seulement et alors tuent et font encore accompagner son cache-sexe. Je pars donc au plus fort-de ce qui se l’agit à côté autour d’un psychoparrain. ", dit Lou
Mateo dit, "le oui, je te corresponds volontiers. Je te souhaite beaucoup de succès lors de l’interrogation de témoin. Espérons que, se trouvent les encore autres connaissances. "
Lou se renseigne d’abord sur l’emploi de la victime. Elle trouve vite là-bas. Finalement, ce n’est pas leur premier cas de meurtre à l’aéroport et en raison de son expérience professionnelle de plusieurs années elle a aussi un sens d’orientation prononcé. A la station de contrôle, elle s’adresse à un collaborateur dont la place était de la même façon à côté de Suzanne.
"Bonjour monsieur, est-ce que je pourrais vous poser quelques questions au cas de meurtre à Suzanne?, Lou dit. Jean-Paul demande, „Que? Suzanne? Elle est la mort?“
Elle dit, „Oui vous vous connaissiez plus près?“
Il dit, „Mhhmm, nous étaient à se lier d’amitié justement avec cela à nous. Elle était si gentille et ainsi sexy. J’étais à tomber amoureux réellement avec cela lentement de cette femme.“
„Qu’en savez-vous donc encore? N’avait-elle pas des ennemis ou quelqu’un eux pouvait?“, elle demande.
„A vrai dire il n’y avait personne qu’elle n’aimait pas ici, mais elle envisageait réellement quelqu’un. Quelque chose avait ce Phillip lui à courent, mais je ne sais pas que.“, il dit.
Elle demande, „Peuvent-ils m’appeler son nom de famille?“
„Non, sorry. Je ne le sais pas malheureusement.“, il dit.
„Aucun problème, nous découvrons encore cela. Savent-ils donc où Suzanne après le travail est allé?“, elle dit.
„Non, malheureusement non. Hier, j’avais le fin tôt, puisque j’avais une date de médecin. En plus ils interrogent s’il vous plaît ma chère collègue Anica Valeur. Les deux vont, habituellement, toujours en commun à la maison.“, il dit.
Lou demande, „Bonjour la madame, vous étiez à répondre disponiblement à moi une question?“
„Oui, certainement.“, Anica dit.
„Où étaient-ils hier entre 20:00 heures et 21:00 heures?“, Lou demande.
Anica dit, „J’étais droit en chemin à la maison, voulais apprendre initialement j’avec Suzanne à la maison comme nous faisons toujours tellement, mais cette fois, elle venait à tard pour le travail et était aussi exacte aussi vite qu’ainsi bruit venait, aussi de nouveau loin. Elle était si comique tout le jour déjà.“
„Où est-elle arrive après le travail?“, Lou demande.
Anica dit, „Elle est après à Phillip, je ne sais plus. Elle les avait en vue de moi si quelque chose devait éclaircir. Je n’ai plus appris malheureusement. Mais elle était assez acide sur Phillip.“
Lou dit, „Plusieurs Grâce à en premier lieu pour cela. Cela aidera certainement nos recherches progressives.“

Lou monte dans leur voiture et va au commissariat. Là elle touche Mateo et ramasse les données et les indications avec lui eux ont trouvé.<<<

Für mich , einen französischen Muttersprachler völlig unverständlich. :frowning:
Niemals einen Ausdruck wortwörtlich von einer Sprache in die andere übersetzen.
Mich hat :" Ey vos oeufs mous " besonders lustig gemacht. " espèce de trouillard" hätte ich dagegen problemlos verstanden.

Désolée, aber nach dem dritten Satz habe ich aufgehört zu lesen… :confused:

Par pure inadvertance je suis tombé sur cette défiguration affreuse de notre langue. Unmissverständlich auf Deutsch: Es tut weh so etwas zu lesen.

Also die Geschichte spielt oder beginnt an einem recht heißem Tag im September in Toulouse. ja ich war schon recht oft in dieser Stadt und ich musste feststellen, dass es im September dort noch recht warm sein kann. Also der Anfang wäre ja somit schon recht realistisch. Ja ich schreibe auch ganz gerne Geschichten und habe es auch schon in anderen Sprachen außer Deutsch gemacht und es ist mir auch gelungen. Aber ich weiß, dass es mir auf Französisch recht schwer fallen würde. Und obwohl diese Sprache sehr schön ist und ich auch eine Geschichte im Kopf habe, die an mehreren Orten in verschiedenen Ländern Europas spielen soll, ebenfalls in Frankreich und dort u. .a. auch in Toulouse, werde ich diese wohl eher nicht auf Französisch verfassen, denn ich müsste zu oft nachschauen wie was geschrieben wird, was ja sehr zeitraubend wäre. Ja diese Sprache klingt für viele Nicht-Muttersprachler doch völlig anders als wie sie geschrieben wird. Also wenn schon irgendwelche Literatur in einer fremden Sprache verfassen will, dann soll man doch sehr geübt im Umgang mit dieser sein, was dann auch zur Vermeidung von direkten Wort für Wort Übersetzungen was dem Ganzen dann den Pfiff nimmt und es einfach nur irgendwie hölzern wirken lässt und es den Leser einfach nur anstrengt und langweilt. Also umgekehrt, einen französischen Text zu lesen, also der passive Umgang mit der französischen Schriftsprache fällt mir sehr viel leichter.Und schon alleine die ersten Sätze lassen vermuten, was den Leser im weiteren Verlauf erwarten wird.

Ich meine, dass ich irgendwo gelesen habe -« Il alarme la police. » Also zu gut Deutsch -Er alamiert die Polizei. Ich hätte in diesem Fall eher geschrieben - « Il appelle la police. » Ob dass jetzt so ganz korrekt wäre? Aber ich habe mal den Übersetzer von Google gefragt, was der zum dazu meint und da kam -« Il alerte la police » Dann habe ich das Verb alerter was was man in recht vielen Zusammenhängen benutzen kann und wohl mehr oder weniger wie warnen oder aufmerksam machen bedeutet in einem Oneline-Wörterbuch eingegeben und fand dort unter anderen die Redewendung -Alerter les pompiers - also die Feuerwehr rufen. Also dann wäre wohl « Il alerte la police » vielleicht die beste Variante gewesen.

Appeler les flics (la police) ist schon richtig. On alerte les pompiers (sapeurs-pompiers) mais on appelle les flics.

Les flics? Dazu habe ich mal eine Frage, ist das Umgangssprache und bedeutet frei übersetzt wie im Deutschen „Die Bullen“? Man sagt ja auch die Bullen rufen. Alors en français - Il apoellle les taureaux? :smiley: :smiley:

Der Terminus « Bulle » für Polizist hat eine eindeutig negative Konnotation. Flic ist « familier » und allgemein gebräuchlich. Natürlich ist « agent de police » bzw. « policier » neutraler und sollte von Deutschen im französischsprachigen Ausland auch so gebraucht werden. Es gibt viele argots für flic. Bitte jedoch als Deutscher nie benutzen.
In den Großstädten sagen die Jüngeren auch: keuf oder auch poulet (bei der Kripo), flicard etc. Die fallen mir gerade mal ein. Zum Teil sind das verlanisierte Begriffe wie bei keuf oder auch nur Verballhornungen. Poulet ist eine Beleidigung, also Vorsicht.

Ich denke mal, was den hier verfassten Text angeht, sollte man mit dem Verfasser nicht zu streng sein. Denn ich habe mich gerade an meinen Französischunterricht in der Schule erinnert. Ich habe es drei Jahre lang auf der Realschule, Klasse 7,8 und 9 gemacht Und ich wäre nach den ersten zwei Jahren auch nicht in der Lage gewesen einen Text nur eigenständig und dann noch korrekt zu verfassen. Wir haben unsere Lektionen gehabt, irgendwelche Texte gelesen, die dafür nötigen Redewendungen und Vokabeln wurden einfach nur auswendig gelernt und durch entsprechende Übungen verinnerlicht. Aber das man von Angang an gelernt hat wie welche Verben auf welchen Endungen konjugiert werden. Ich wusste beispielsweise dass je parle ich spreche und nous parlons wir sprechen heißt, aber warum das so ist und hätte man mir anderes Verb auf -er gegeben, ich hätte es nicht umsetzten können. also die Texte in den Lehrbüchern haben schon tägliche Lebenssituationen dargestellt. Man hat auch an gelernt dass es Singular und Plural gibt aber da war auch alles Also man hat Französisch gelernt, aber war in der Praxis sehr limitiert. Nach meinem ersten Jahr Französisch in der Schule, es war sogar mein Lieblingsfach, war ich recht gut., und ich bin dann mit meinen Eltern nach Südfrankreich in den Urlaub gefahren. Wir waren im Landesinnern der Provence am Lac du Verdon zwischen Verdonschlucht und dem Ort Les Salles sur Verdon (Ich offe ich habe es richtig geschrieben) Viel mit ausländischen Touristen war da nicht und Fremdsprachenkenntnisse der Einheimischen waren eher gering. Natürlich war ich dann gefragt und konnte mich auch über das eine oder andere Erfolgserlebnis freuen. Also ich hatte ha in der Schule gelernt, wie man auf dem Markt einkauft und wie man Getränke bestellt und kannte auch recht viele Vokabeln, was auch sehr hilfreich war. Aber ich darüber hinweg ein Gespräch zu führen, also auch mit Nachschlagewerk einigermaßen selbstständig mit der Sprache zu arbeiten und dinge entsprechend umsetzen können, das hätte ich nicht gekonnt, Und eigenständig einten Text korrekt zu formieren, das hätte ich wohl eher nicht gekonnt und selbst nach dem zweiten Jahr nicht, wo ich dann zunehmend schlechter wurde und dann letztendlich nichts mehr auf die Reihe bekam, weil ich die Lust verloren hatte. Ich habe viele Jahre später als Erwachsener nochmal bei Null angefangen, nachdem ich recht erfolgreich andere Sprachen gelernt hatte.